
Si j’ai bien compris les reines, à l’automne, ne cherchent qu’à trouver un abris où passer l’hiver.
Je n’ai vu circuler et piéger en ce chaud ( hélas🥵) début novembre 2025 que quelques ouvrières en fin de vie.
Et les futures reines fondatrice pour 2026 ne seront à nouveau active si elles survivent à l’hiver et sont donc piégeable qu’au début de printemps ( 15 mars-15 avril environ ) quand elles cherchent de la nourriture avant de fonder leur colonies « primaire » .
De ce a que j’ai surtout appris de ces deux conférences: Il faut faire en sorte que le piège que j’utilise soit bien sélectif ( c’est le cas🙏🏼) et ne capture pas d’autres insectes.
Car ils ont fait des recherches qui démontrent que les quelques pièges non sélectif standard installés sur une zone où est situé un nid de frelon asiatique (pour faire simple la bouteille bricolé en plastique verticale avec entonnoir et sirop au fond ou se noie les insectes du frelon européen à la guêpe en passant par la soi-disant “mouche à merde” qui est elle aussi un pollinisateur) font disparaître en une saison autant d’insectes ( en poids c’est à dire 10 kilos environ ) que n’en capturent et consomment les ouvrières d’un nid de frelon asiatique standard.
Donc utiliser des pièges mal conçu c’est contreproductif pour le maintien de la biodiversité puisque en tentant de lutter contre le frelon asiatique nous détruisons d’autres insectes qui sont pour la plupart des pollinisateurs.
Lutte contre Vespa velutina ou frelon à patte jaune
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2 qui tournaient autour de notre table d’extérieur pendant que nous mangions ce midi. Ca fait 2 de moins, à la tapette à mouches, sans risque pour le reste de la biodiversité.
Bernard