La pente et le risque d’avalanche

Bon faut dire que j’ai commencé avec un groupe de jeunes encadré par François Henrion et qu’on avait du matos disons… de récup’ :joy:
Et quand je me suis acheté du matos tip top par rapport â l’époque, au vieux campeur, rue des écoles à Paris, conseillée par Jacques Rouillard (« loin des pistes l’aventure »), j’ai eu des "Haute Route Rossignol, des fixations silvretta à câble et à plaque (le must) et des chaussures en cuir â lacets plus 1 crochet et chausson intérieur amovible en cuir. Ah oui, des peaux de phoque vinersa â lugeons.
Avant les peaux qu’on nous passait tenaient (ou pas…) avec des tendeurs en ruban de coton :joy:

C’était des vrais peaux de phoque?

Non c’était déjà en synthétique !

j’ai scindé, déplacé ici mais j’ai galéré pour mettre un titre adéquat !

Merci à tous de ne pas « utiliser » les sujets informant d’un accident à l’issue dramatique pour discuter des conditions, de la prise de risque, du risque d’avalanche etc. Ce n’est vraiment pas le lieu : pensez avant toute chose aux familles et proches des victimes.

En parlant de pente et risque avalanche, deux personnes sur Skipass (l’un des rédacteurs de Skipass et un membre « éminent ») se sont faits de belles frayeurs aujourd’hui, pas de blessés mais de la casse matériel (à priori pour l’un un sac ABS abimé et un ski perdu), ça rappelle qu’il faut faire gaffe!
Le plus triste c’est que dans le cas du rédacteur, à priori il s’est pris une coulée déclenchée par d’autres skieurs et comportement très limite…

Anne-Sophie
Faut pas oublier que le skis de rando autrefois commençait au printemps a part quelques un
pas vraiment
A l’origine, le ski " de montagne " se pratiquait ( essentiellement ) l’hiver !
cf le premier Chamonix Zermatt, les traversées en Oberland, les récits de l’époque, etc
parce que les skis n’ayant pas de carre, skier sur de la neige dure printanière était problématique
Ce n’est qu’une fois les carres métalliques « inventées » que le ski de printemps s’est développé au détriment de l’hiver

Pas d’accord … la gestion du risque commence déjà à la maison et se poursuit sur place.
Il ne faut pas sous-estimer l’importance de la préparation du choix de l’itinéraire etc … et vous pourrez dire ce que vous voulez mais la pente et le risque d’avalanche sont des facteurs important a prendre en compte avant d’être sur le terrain … vous trouverez ca dans tous les cours sur la gestion des risques avalanches … les conditions sur place ont évidemment une importance aussi.
certains on suffisamment de connaissances du terrain pour faire du 40 par risque 4 … tant mieux … mais je penses que c’est loin d’être le cas de la majorité des randonneurs et c’est des situations ou on prend forcément plus de risques…

Psitttt…
@Jeremy_Cherix a dit « vérifier », à mon avis cela veut dire qu’il a déjà étudié avant, et ensuite il vérifie sur place. Tout le monde est d’accord sur cette importance.

Oui le verbe « vérifier » suffisait pour comprendre la phrase. J’aurais pu rajouter pas que depuis la maison.

C’est marrant on parlait de ça ce jour là: le fait d’être quelques fois agressé, pas de ta part, par certaines personnes qui n’ont aucunes connaissances et nous prennent pour des inconscients.

Tu veux parler de ce genre de personnes qui te traite d’inconscient quand sur le télésiège tu parles avec tes potes d’un run fait plus tôt dans la saison sur une pente safe, même personne qui à la sortie du TS se précipite vers un HP en neige pourrie en face sud à 15h avec grand soleil et températures élevées début avril? :smiley:
Perso je ne me suis pas gêné pour le pourrir après qu’il se soit difficilement sorti de sa zone merdique (et après avoir provoqué quelques coulées de neige mouillée sans importance d’ailleurs…)

Oula! Ca c’est encore autre chose! :laughing:
Mais sur les pistes, on voit de tout.

Tu ne serais pas dans la pub par hasard ? :grin:

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C’était plus facile à la montée ?

oui, en tire-fesse :stuck_out_tongue:

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