Intempéries du côté de La Bérarde et Saint-Christophe

Pour quelle raison ?

chiche !

Tu penses vraiment que les scientifiques qui suivent ce glacier sont plus stupides que toi?

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C’est @agness qui semble pouvoir nous donner la réponse…

Je sais pas vraiment pourquoi il y a des capteurs sismo, je travaille pas la dessus, peut-être pour mesurer le débit du torrent.

Ok.
Mais pourquoi les données des sismographes ne peuvent elles pas être transmises via connexion internet satellite ?
J’ai vu qu’il existe des sismographes numériques vendus avec transmission des données via le réseau 2G.
Donc ça ne semble pas être un mode de transmission standardisé et j’imagine que ça ne doit pas être neutre en terme d’investissement, mais en comparaison du déplacement d’une personne toute les semaines/mois, ça doit se rentabiliser sur du moyen terme.

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On n’utilise pas de réseau satellite pour la transmission de données GPS ou sismo, en tout cas j’en ai jamais entendu parler.

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Pour le moment c’est toi qui n’est pas capable d’éclaircir ce que d’aucuns considèrent comme moi comme dénué de sens. Je t’ai posé une question à laquelle tu ne réponds d’aucune façon. Dans ce cadre je suis obligé d’accorder à tes propos le même crédit que pour la plupart de tes interventions, c’est à dire aucun…

bonjour @agness,
sans doute as-tu raison pour le débit du torrent (mais en fait ils ont mis des caméras en bas sur la Bérarde pour mesurer le débit du torrent; en revanche je crois que ces capteurs sismiques au lac de Bonnepierre ont été mis pour mesurer le risque de nouvel effondrement du barrage naturel là-haut

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N’importe quel capteur peut être couplé à n’importe quel système de transmission ou presque (le GPS n’en étant pas un). Mais c’est rarement le cas « clé en main », donc soit il faut l’expertise technique (électronique et informatique), soit l’argent pour sous-traiter, deux choses dont beaucoup d’organisations manquent souvent.

Si je devais le designer, je pense que le satellite ne serait cependant pas ma première option.

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Merci pour ta réponse.
A la Bérarde, avant la démolition partielle du hameau, il n’y avait qu’Orange qui fonctionnait en téléphonie. D’après le site de l’Arcep, Orange fonctionne toujours mais ne couvre pas le glacier de Bonnepierre.
Tu ferais comment dans ce cas-là ?

Ça dépend vraiment du cahier des charges, et de la situation exacte sur place, difficile à dire. Si le réseau 4G n’est pas loin, un petit réseau local en LoRa par exemple pourrait suffire à le rejoindre (mais ça veut dire au moins une -moche- antenne à installer). Ou il est peut être possible d’étendre le réseau 4G juste ce qu’il faut (ça nécessite l’autorisation d’Orange à priori). Si beaucoup de capteurs sont installés, ils peuvent propager l’info de la nuée de proche en proche. Ou, plus fun, tu envoies un drone à portée du capteur 1x/semaine :grinning:

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Je suis limite béotien
Mais je ne comprends pas la fonction d’un gps dans la phase de fonctionnement courant d’une installation fixe qui surveille un niveau d’eau ??
Réseau GSM évidemment, satellite pourquoi pas, mais un GPS ???

Aucune, le GPS ne sert pas à transmettre des données

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Alors pas besoin de la fonction gps
Quel est le problème ??
Uniquement du réseau GSM ( ou satellite ) pour transmettre des données

Pour vérifier que la station « fixe » reste fixe ? :grin:

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La fréquentation est en recul au refuge du Soreiller

Je suis étonné, car à chaque fois que j’ai lu une sortie au Soreiller de cet été, ou que j’ai discuté avec qqun qui revenait du refuge, j’ai lu/entendu « refuge complet ».
J’étais persuadé que la fréquentation était en hausse, à cause entre autres du report sur le Soreiller d’une partie de ceux qui allaient habituellement au Chatelleret, au Promontoire par les Etançons (la descente est quand même plus facile que par les Enfetchores quand on ne fait pas la traversée de la Meije), et surtout le camping de la Bérarde.
Ajouté à ça une louche de réseaux sociaux, et on aboutit à une fréquentation par des gens qui ne sont jamais venu dans les Ecrins, comme ces grimpeurs italiens qui ne connaissaient rien aux Alpes, y compris les Alpes italiennes, mais qui savaient que la voie Lady Bona était au Soreiller…

Ça confirme la tendance observée en juin au refuge du Soreiller, encore pire à Temple Ecrins certainement.
Pas d’accès routier, moins de fréquentation malgré les 7 navettes.

Je cite : “On a ainsi relevé plus de 200 tentes (!) sur la plateforme du lac de la Muzelle”
C’est peut être ça l’avenir.