Grandes phrases

Posté en tant qu’invité par jc:

oui, en bord d’eau…

Posté en tant qu’invité par jc:

d’eau de mère bien sûr… là je bois du p’tit lait

Posté en tant qu’invité par Flo:

jc a écrit:

Bonne nuit alors… mais pense à enlever la bouteille de
dessous l’oreiller, sinon tu vas attraper un torticolis…

Et tu vas faire un rêve vignoble.

Posté en tant qu’invité par jc:

Flo a écrit:

Et tu vas faire un rêve vignoble…

… il va peut-être se remettre à Flo après tout ça…

Allez bonne nuitée les aminches !

Posté en tant qu’invité par l’Urbain:

(Dictons)
Assureur transfuge, abandon au refuge.

Comme banc de crevettes sur la mer-de-glace,
touriste à la Verte n’est pas à sa place.

(Je ne l’emmenerais jamais en refuge)
Danse-avec-les-loups, c’était déjà pris, on l’a appellé Ronfle-avec-les-ours.

Posté en tant qu’invité par Phil:

Tenez les enfants, là y’en avait une série de pas mal sur les collants pipettes

[%sig%]

Posté en tant qu’invité par Loana:

(dicton pour les grimpeuses)
Rien de tel, pour une grande course
qu’ un beaudard, côté en bourse

Posté en tant qu’invité par Loana:

(Pour les alpinistes H, pendant une course en montagne)

Mieux vaut un baudard côté en bourse
Qu’ un beau dard botté en course

Posté en tant qu’invité par heeno100:

Bubu a écrit:

L’ alpinisme et l’ érection ont ceci de commun, c’ est
toujours frustrant de redescendre …

… contrairement au ski où c’est bon à la montée et à la
descente :-))

Ou alors on pourrait dire qu’en alpi, une fois que l’on est
monté, on ne sait plus quoi faire.
Alors qu’en ski, une fois que l’on est monté, on recherche la
glisse.

Je ne me tient pas responsable de toutes les conclusions que
l’on ne manquera pas d’en tirer :slight_smile:

encore faut il être bien monté.

Posté en tant qu’invité par Marcel Demont:

Ce jour-là, nous gravissions la face nord de la Verte. Je fonctionnais comme chef de classe (en Suisse, on dit : ‘expert’). Une cordée d’aspirants guides avait dévissé. Au pied de la face, qu’ils dévalèrent à fond la caisse, il y avait, plantés verticalement dans la neige, les skis que nous avions utilisés pour l’approche de la montagne, et un aspirant qui avait renoncé à l’ascension. La chute de la cordée s’acheva en plein cœur de la forêt de skis qui basculèrent sous l’impact des corps. Venant d’un des membres d’une des cordées d’aspirants encore accrochées dans le haut de la paroi, descendirent alors, hurlés à l’attention de l’homme resté au pied de la face, ces mots forts et pleins de sollicitude fraternelle, cette grande phrase :
« Hé ! Redresse voir les skis avant qu’ils ne foutent le camp ! »

[%sig%]

Posté en tant qu’invité par Mic’hel:

Je m’incruste.

Toi qui es si cultivé, l’Urbain, connaitrais tu, par chance, l’auteur de la citation suivante: « la connaissance, quelques lacunes dans l’ignorance » ? Pas réussi à trouver sur le Web :o(

Posté en tant qu’invité par l’Urbain:

Mic’hel a écrit:

Toi qui es si cultivé, l’Urbain,

Ça commence mal…

connaitrais tu, par chance,
l’auteur de la citation suivante: « la connaissance, quelques
lacunes dans l’ignorance » ?

Non, mais c’est pas mal du tout.
Tu n’as qu’à dire que c’est de Lacan, une citation de Lacan, ça fait toujours bien dans un dîner.

Une petite dernière, pour la route :
Le sommet, c’est quand tu ne peux plus t’éloigner de la voiture.

Posté en tant qu’invité par AlbanK:

" La Connaissance conduit à l’ Unité, comme l’ Ignorance mène à la Diversité… "

Krishnâ…

Sacrés gamins, vous avez toujours un mot pour rire…

Etienne, as-tu reçu mon mail, c’ est important, sinon, on s’ appelle…rapide…

Posté en tant qu’invité par l’Urbain:

Non Alban, rien reçu… Je t’écris de suite.

Posté en tant qu’invité par manu gadin:

qui boit la gnôle, plie la bagnôle !!

Posté en tant qu’invité par Loulou:

Pain is only weakness leaving your body

Les douleurs ne sont que des faiblesses qui quittent votre coprs

Posté en tant qu’invité par Marcel Demont:

La gardienne du refuge de Hohsaas, 3100 m, gracieuse, et vulnérable au charme de Me B., mon client, avait offert ses services pour changer un pansement bardant les sublimes fesses de l’accidenté de frais (glissade en short sur un névé). Trousse de premiers secours en main, elle filait en direction de l’amoché, lorsqu’elle mit le pied sur un perfide clou dépassant d’une planchette de récupération destinée à alimenter le fourneau potager :

« Arrrgh-kopfetaminomaul-huereschwinerei-schisstrek-sigiarchleucher-alléluia ! ! ! »

émit-elle alors sobrement dans sa langue maternelle (le suisse-toto). Son hourra de louange et d’allégresse à peine poussé, elle se lâcha la boîte à pansements sur les ripatons. Après avoir récupéré la trousse, nous fîmes tout notre possible pour adoucir le calvaire de cette bonne samaritaine.

[%sig%]

Posté en tant qu’invité par gypaetejoyeux:

un petit : les alpinistes ont des droits d’hauteur.

Posté en tant qu’invité par Flo:

C’ est sûr que celle-là, si on arrive à la ressortir, on va impressionner! (lol)

Posté en tant qu’invité par Marcel Demont:

En français, peut-être ?
Traduction très, très libre :
« Arrrgh (jusque-là, ça va) kopfetami encore une fois pu…ain de cochonnerie de mer…erie de bande de t…ous de bal…e alléluia (ça va de nouveau) ! »
En toto dans le texte.
Réflexion faite, il est peut-être préférable de mémoriser ‘l’expression’ d’origine.

[%sig%]