Purée de punaise !! Tu réponds là sans le vouloir à une question que je me pose depuis des lustres ! En effet on m’a toujours dit qu’il fallait 15 jours pour être acclimaté, mais j’avais un très bon copain compagnon de cordée qui me faisait fortement douter. Je t’explique, chaque année c’était à peu près pareil, par exemple: on part en début de saison bivouaquer à 2000 m le pote ne dort pas, est malade comme un chien et à la rue dans la voie. Le lendemain là aussi il en chie comme pas possible et pleure même dans la voie tellement il en bave, arrive au sommet en rampant… Et puis comme par magie deux jours plus tard il gambade tout comme dans la course suivante, métamorphosé en quelques jours ! Avec ce que tu dis tout s’éclaire, merci !
Dôme des Ecrins sans guide début juillet ?
Si j’ai acheté ce bouquin, qui date un peu aujourd’hui, c’était pour des raisons professionnelles.
PS : dernière intervention pour moi. Je me remet en mode Silence.
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c’est fou car vous avez tous les deux raisons :
Ph, globule rouge, pression sanguine et rythme cardiaque. Les quatre sont influencé et s’acclimate !
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?
Une source serait bienvenue.
Tt ce que je trouve dit que « Tout d’abord, la fréquence cardiaque augmente pour pomper plus de sang riche en oxygène vers les muscles et les organes. Ensuite, la respiration devient plus rapide et plus profonde pour maximiser l’apport en oxygène… Finalement, à plus long termes, le corps commence à produire plus de globules rouges, responsables du transport de l’oxygène Ces adaptations peuvent prendre plusieurs jours, voire plusieurs semaines, selon l’individu et l’altitude atteinte. »
(message supprimé par son auteur, sera supprimé automatiquement dans 100 heures à moins qu’il ne soit signalé)
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Ah oui, quelle aventure 
Le choix d’un coéquipier est vraiment important, et ce n’est pas toujours facile de bien évaluer les personnes.
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Et parfois, même en les connaissant depuis longtemps, le jour où ça tourne mal tu les découvres sous leur vrai visage et tu peux avoir des surprises (bonnes ou mauvaises)
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Oui, je suis tout à fait d’accord.
« Pour moi l’alternative c’est de te former (surtout pour la sécurité sur glacier. Beaucoup de structures proposent ça sur quelques jours), de faire des courses plus faciles et d’aller au Dôme quand tu te sentiras prêt. »
@abc38 :
Pour la formation sur la sécurité sur glacier, que pourrais-tu me recommander comme structures, par exemple ?
La Chamoniarde en propose :
Les sections du club alpin Suisse proposent aussi ce type de formations, et je suppose que ça doit être pareil avec les sections du club alpin Français.
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Cela fait partie des formations classiques des Clubs Alpins. S’il y en a un à proximité de chez toi. C’est aussi l’occasion de rencontrer ses premiers compagnons de cordée.
La FFCAM propose des formations directement aussi : Recherchez une formation
Sinon des structures comme l’UCPA proposent ce type de choses. Les bureaux des guides aussi.
Ou sinon prendre un guide spécifiquement pour ça. Mais dans ce cas il faut être clair sur ce que tu lui demandes. L’objectif n’est pas d’atteindre un sommet précis, mais d’apprendre. D’expérience cette demande est des fois mal comprise, on se retrouve au final à faire un sommet et pas vraiment à apprendre. Donc je dirais que c’est plus aléatoire…
Potasser les bouquins sur les techniques, ça ne fait pas tout mais ça éveille beaucoup sur le sujet et ça permet d’assimiler plus vite ce qu’on t’apprend « in situ ».
Et une fois que tu es à minima autonome, c’est le début de l’aventure… Tu vas progresser par toi-même au fil des courses avec des compagnons de cordée récurrents que tu connaitras par coeur…
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hello,
l’ucpa tu peux oublier, ils sont là pour que tu passent des vacances pas pour te former. il te donne les bases (rattraper une glissage)
le caf: bon courage vu que la demande est énorme et l’offre de plus en plus réduite
je te conseille de prendre un guide une journée, éventuellement avec 2 ou 3 personnes dans ta démarche
en une journée, il peux vous faire le socle commun + un des trois alpis (rocher ou glacier ou couloir de neige/glace)
perso je fais sur deux jours: un jour théorie et exo, et un jour pratique. mais deux jours guide, ca va piquer
Tu peux aussi trouver un vieux qui souhaite transmettre ses connaissances. Ça se faisait, dans le temps.
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Merci pour toutes ces informations.
Étant donné que j’habite en Ile-de-France, j’avais contacté le CAF Ile-de-France il y a 2 ou 3 ans, mais je n’ai jamais eu de réponse, donc j’ai laissé tomber.
Sinon, je note pour la Chamoniarde.
En fonction de tes moyens et ta motivation, tu pourrais aussi voir du coté des CAF dans les villes plus près des montagnes avec une bonne connection TGV. Genre Grenoble, Chambé etc.
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Je sais pas si c’est encore possible mais à l’époque je m’étais inscrit à un séjour d’une semaine aux Hauderes organisé par un caf de plaine alors que j’étais inscrit à un autre caf de plaine aussi. Ça m’avait appris des trucs (entre autres que la haute montagne c’est pas facile), on avait fait quelques courses (pigne, cheilon, bishorn) et une petite école de glace à l’occasion. L’inconvénient c’est que tu connais personne au départ
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Ou même un ou des jeunes qui souhaitent transmettre, ça se fait aussi très bien (mais plus facilement quand t’es une nana paraît-il malheureusement…)
Oui mais ya surement des jeunes très bons et d’autres qui le font croire, faut quand même se méfier. Ça peut sans doute arriver aussi avec quelques vieux
petit tips!
pas la peine de monter à 4000m pour apprendre l’alpinisme!
l’auvergne est un excellent terrain de jeu, surtout la vallée de chaudefour: des couloirs neige / glace
je te mets une phot d’auvergne et une photo des alpes, je te mets au défi de faire la différence!
ce massif se prends tout le vent de la pleine, d’ou des conditions dantesques
et pour l’alpi rocher, tu peux très bien aller à clecy, en suisse normande, 30km au sud de caen!
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