Chroniques Matheysines : Bérenger II, la suite

Posté en tant qu’invité par Louleblu:

Ben dans certain cas c’est quand même le but!!!

Ou alors je suis obsédée? non…

Posté en tant qu’invité par AlbanK:

Euh …

J’avais pensé à la même chose …

Faut que j’ me soigne !!!

Posté en tant qu’invité par TTM:

Obsédée ? Non
Pressée ? oui

:slight_smile:

Posté en tant qu’invité par Louleblu:

Pressée? ah bon…

Avant ça je savourais juste l’avantage de la gente féminine sur l’observation du mâle en action… rapport à ceux qui ôte leur Tisheurt

Posté en tant qu’invité par visse:

Pffiouu, l’envoie du gros l’Alban,…, quel talent !!

Le 3 sera donc une promesse à l’image de la chute de rein de Nathalie.

Posté en tant qu’invité par Francois:

Ticheurte, on dit ticheurte. Et même, on écrit ticheurte. C’est pareil.

Posté en tant qu’invité par louleblu:

Rooh pardon euh, j’l’ai pô fais essprès

Posté en tant qu’invité par dalle en pente:

Tout simplement superbe ; limpide, fluide et clair, comme Béranger.

Merci Alban!

Posté en tant qu’invité par AlbanK:

Ah …

La musique, Nico …

Connais-tu cette phrase de L Ferré " souvent la musique me prend, comme la mer … " ?

Tout ce résume en quelques mots, en quelque brèves images, la complexité des sentiments, les formes musicales des instants de nos vies…

On peut imaginer dans ce texte une ouverture très douce mais très ténue comme le "Prélude à l’après-midi d’un Faune " ou " Au matin " de Grieg.

La deuxième partie, plus pittoresque, on pourrait entendre un peu de Malher pour son côté " liesse populaire ", mais aussi Weber comme dans la " Partie de chasse en Forêt Noire " .

Le passage honorant Perroux, pourquoi pas l’ " Ave Verum Corpus " de Mozart ?

Et le final, je te le laisse.
C’est aussi un retour en arrière, où l’on sombre dans le souvenir et le romantisme…

Bien sûr, " La Moldau " de Smettena, mais d’autres, beaucoup plus sombres
encore …

La musique Nico, la musique …

[%sig%]

Posté en tant qu’invité par Flo73:

Je remonte le post, car sinon, pour aller relire ce superbe texte, on est obligé d’aller actionner la molette de la souris et on risque une tendinite du doigt. C’est pas bon pour la grimpe!

Posté en tant qu’invité par jc:

Albank, je ne te savais pas si fin linguiste pour utiliser à tour de bras le subjonctif imparfait !
Faudrait nous la présenter cette Nathalie.
Non, je me ravise…
Le rêve est plus beau, gardons-le comme ça.
Merci AlbanK.

Posté en tant qu’invité par strider:

oui la matin de Grieg, comme un éveil au monde…c’est vrai qu’il y a une certaine symphonie dans ton Bérenger, ce pourquoi pour moi c’est un poème en prose, genre que j’ai souvent beaucoup apprécié en littérature car il respire une certaine liberté…

Posté en tant qu’invité par françois:

de plus en plus beau
on attend la 3° partie!!

Posté en tant qu’invité par AlbanK:

Je crois que tu as tout compris mon cher ami …

Comme l’a dit Étienne, je vous la laisse encore un peu, avec nous, avec vous, avec moi…

Tu as raison…

…On a tout notre temps.

Merci.

[%sig%]

Posté en tant qu’invité par Flo73:

ça y est Patrick a lu ton Bérenger II.
Gionesque et superbe! qu’il m’a dit le pat, l’autre jour, pour le premier.
Pour le 2ème, comme je lui ai posé la question alors qu’il entamait un pas dur en début de voie, il a été un peu moins lyrique, mais il m’a quand même dit que ça valait le premier.
Donc, on attend tous le III avec impatience.