Une chute en crevasse et un mouflage à faire est déjà suffisamment stressant et long : faire un abalakov tranquillou avec la corde qui tire sur le bassin, je demande à voir en situation réelle. Et oui, une broche au soleil a vite du jeu, donc 2 c’est mieux (je précise que j’ai eu à gérer ce cas, mouflage de 2 personnes sur glace). @fredoche un spit aussi a une certaine résistance « béton », mais il ne te viendrait pas à l’esprit de faire un mouflage sur un point
Choix première course alpinisme
Pour un hissage, je n’y verrais pas d’inconvénient si je devais le faire.
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Le contexte :
Que la question du nombre de broche soit posée illustre bien le contexte.
La seule raisonnable solution est probablement/assurément de ne pas se confronter à une course pouvant nécessiter un mouflage, que cela soit sur 1 broche, 2 broches, abalakof, corps mort …
Qd bien même on a fait 1 journée ou même 1 we complet sur le mouflage, deux débutants ne sont que rarement à même de réaliser un mouflage, à fortiori plusieurs semaines, mois, après le stage.
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Avec le rappel pendulaire de la descente, c’est tout de même un peu risqué pour 2 débutants.
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Oui assez d’accord pour la traversé et le risque de chute en crevasses, mais pour ce qui est de la rimaye, roture, pente en glace noire sur lesquelles tes crampons ne s’enfoncent pas…
Le Grand Paradis, l’Etendard, mais aussi en Suisse, l’Allalin, le Strahlhorn, le Lagginhorn (au-dessus de Sans-Fee / Saas-Grund) ou le Breithorn (Zermatt), pas plus loin que les Alpes du Nord pour des franc-comtois, correspondent à peu près bien au cahier des charges, sauf pour les refuges pas chers en Suisse !
Mais avec l’hiver qui approche, on trouve sur la barrière Est du Vercors, une multitudes de couloirs qui sont des éboulis de cailloux en été, mais de beaux objectifs à skis ou pour de l’initiation à l’alpinisme lorsque ils sont en neige. La sortie sur les Hauts-Plateaux et la descente ne présentent pas beaucoup de danger et la progression sur neige, même sans glacier est intéressante. Par contre DVA / pelle / sonde (et savoir s’en servir) sont indispensables.
Quant aux refuges, il faudra regarder du côté des cabanes non gardées, comme celle des Aiguillettes au pied du Grand Veymont qui est lui-même un objectif intéressant en hiver.
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