Posté en tant qu’invité par zobi la mouche:
C’est à se demander si les différences d’appréciations ne proviennent pas de differences physiologiques des personnes et de difference de comportement.
Je n’ai jamais observé cela avec tous les tee-shirts que j’ai utilisé depuis 20 ans. Les tee-shirt techniques ont déjà 2 décennies d’existence au minimum => rien de bien nouveau.
Je transpire de manière raisonnable que cela soit en quantité ou en odeur (généré par les bactéries se délectant de la transpiration). J’ai plutôt un gabarie favorisant l’évaporation : 1.83m pour 67kg. De surcroit, je me rase (notamment les aisselles) et j’ai les cheveux courts afin de réduire encore les inconvénients de la transpiration et de la prolifération des bactéries. idem pour les vêtements et l’hygiène corporel.
En CAP, j’utilise encore régulièrement du coton sans problème particulier. idem en escalade.
En alpi, ski de rando, rando pédestre, je favorise systématiquement la respirabilité => gore tex dans le sac, je monte avec le minimum du minimum => peu de sueur (hormis au sac à dos).
Il est donc possible que les personnes transpirants plus, ayant une odeur plus importante, ne prenant pas les même précautions, ont une perception différent des textiles.
Pour ma part, je suis bien content de n’avoir besoin de dépenser que 5€ en tee-shirt pour monter à Chamechaude.
Une personne se posant ses questions aujourd’hui peut très bien acheter un tee-shirt à 5€ et voir ce que cela donne. Au pire, il aura dépenser 5€ et l’utilisera le tee-shirt pour faire du bricolage.
Par contre, s’il prend un tee-shirt à 50 boules pour monter à Chamechaude, il est certains d’avoir claquer 50 boules. A raison de 50 boules le tee-shirt, je n’imagine même pas combien va couter la totalité de son équipement pour monter à Chamechaude ? 500€ ? 1000€ ?
A la base, la randonné pédestre est une activité ne coutant pas très cher. Même sur ce créneau, les fashions victimes ont trouver comment s’inventer des besoins pour claquer de l’argent.
J’ai déjà eut des gelures aux orteils nécessitant un suivi médical dans un service spécialisé. Rien de tel en randonnée estival sous nos contrés. Étonnant, non ?