Accès à la vallée du Vénéon

On n’a pas vu de panneau quand on est passés, et il y avait pas mal de voitures garées à l’arrivée de la Bérarde. On avait bien sûr envisagé de s’arrêter un peu avant, à la combe de pierre noire, comme indiqué sur internet.

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C’était avant le 29 mai, c’était encore autorisé de monter en voiture jusque là.

Concrètement la remarque pouvait avoir du sens, on s’est beaucoup posé la question, des informations contradictoires circulaient (effectivement on est finalement passé à la bonne période)

Bonjour,
En survolant la discussion, je n’ai vu aucun retour sur le système de navettes ces derniers jours. Est-ce que certains d’entre vous l’on prise le week-end dernier? J’aurais souhaité savoir,si cela fonctionnait correctement et surtout au niveau des horaire.
Merci

Sur le site du Parc des Écrins, il y a des infos au sujet des refuges du Vénéon, et aussi du système de navettes.

Merci pour la réponse, mais la question est surtout, est ce que dans la réalité, le service de navette est fiable?

J’imagine que cette navette sera « fiable », vu le désir affiché de faire venir du monde dans cette vallée cet été, et les travaux entrepris pour rétablir la route.

Si on suit le lien que j’avais mis ci-dessus pour réserver :

oui je l’ai prise le 8 juin, on était tout un groupe

Le plus sur est d’interroger directement des contributeurs ayant rentrés une sortie autour de la Bérarde. Tu vas dans le topoguide et fait afficher les sorties en limitant la recherche à la carte visible et en zoomant autour de la Bérarde.
Par exemple : Camptocamp.org

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Merci pour l’idée, je n’y avait pas pensé.

les navettes fonctionnent très bien pour juillet et août
malheureusement, elles arrivent souvent avec 5 à 7 personnes maxi, voire pour certaines vides ! La cause ? Ceux qui réservent et qui ont décidé de ne plus venir ne décommandent pas leurs places sur le site, donc les navettes montent à vide, belle économie…

Parmi certains de ces touristes, et pas seulement les étrangers, ils ne connaissaient même pas la catastrophe de la Bérarde, choc à l’arrivée, on comprend…