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Le VTT de montagne a un sens sur c2c, le reste non.
Oui c’est court comme argument, je sais. Mais j’y tiens 
Quelles limites pour l'activité VTT sur c2c ?
les sports de montagne, pas les sports en montagne 
@jvallet c’est surement très intéressant, mais cela n’aide en rien. merci quand même…
@ptetbenquoui
La rando en bord de mer, c’est limite, mais quand il y a du déniv’ et du rocher (Calanques, etc) pourquoi pas. Mais si tu rentres un A/R le long des plages landaises, il y aura opposition.
Pareil pour le VTT : les bords de Loire ou ce que tu veux, c’est PLAT, tu peux le faire avec un gravel bike, voire avec un vélo de route normal, alors à mon avis ça n’a pas sa place.
Mais je n’ai pas d’argument rationnel…
Si on veut rationaliser le truc, il faudrait introduire des chiffres… Mais ne faisant pas de VTT, je suis embêté pour border le truc…
Moins de 75-80% de graviers/terre/herbe? Refusé?
Moins de 100 m de dénivelé? Refusé?
Pentes < 5%? Refusé?
Comme j’ai déjà pu te l’indiqué et expliqué dans un précédent sujet c’est possible. Il faudrait arrêter la mauvaise foi.
Le problème justement est de savoir ce qu’est le VTT de montagne.
S’il faut en arriver au type de calcul, ci dessous, avec autant de paramètres il va falloir que les modérateurs motivés par le VTT passent beaucoup de temps à tout vérifier
C’est déjà possible.
Une limite peut être un peu brutale mais simple, on garde que ce qui est en dessus de 1600 ou 1800 m d’altitude.
Au dessous de ces altitudes c’est pas du VTT de montage. Certes on peut monter, descendre etc. Mais les conditions ne s’apparentent pas, ou peu à de la « montagne » (isolement, météo, recherche d’itinéraire, exposition etc).
Oui, mais en Scandinavie ou au Canada, ou dans le Jura en fin d’automne, ces limites d’altitude ne signifient plus rien.
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Est ce que du VTT dans le Jura en automne peut être considéré comme du VTT de montage?
Je dirais non. En tout cas, pas dans le Jura autour de chez moi.
Je serai aussi sur cette longueur d’onde (le parcours doit éviter au maximum les passages sur route) plutôt que de se cantonner au VTT de montagne, finalement très sélectif.
J’ai cherché sur Vttour si un périmètre était défini pour l’activité, mais je n’ai pas trouvé… (Comment contribuer sur VTTour : Quelques notions de base sur les TOPOS )
Je vais te montrer quelques photos de mes sorties pour te faire revoir ton jugement…
N.B. Je ne comprends pas cette discussion, c’est juste pour dire que oui, du VTT automnal dans le Jura, quant à moi je trouve que ça peut être une activité de montagne engagée.
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Je te crois très volontiers. Mais quels critères utilises tu pour affirmer ça?
Si on arrive pas a trouver la limite c’est peut être que la définition n’est pas claire.
Oui, exactement, je n’aimerais pas être à la place de ceux qui doivent définir une « limite ». Mais le critère « Jura en automne » ne me semble pas un bon critère d’exclusion , en tout cas. Quant à moi, j’ai vécu de véritables expériences montagnardes (dans la neige, avec des sauts, des recherches d’itinéraire et tout et tout) entre les falaises près de Vallorbe en automne.
Mon critère de base était « Au dessus de 1800m d’altitude »
Ce genre d’expérience montagnardes tu peux aussi le faire en plaine, dans une foret, dans une tempête de neige.
A priori, il n’est pas nécessaire de s’embêter de mettre une limite d’altitude mini pour les itinéraires VTT sur c2c, étant donné qu’on peut facilement filtrer sur l’altitude.
Idem sur le ratio route/chemin, non ?
Exactement. Tout comme le ski. C’est une activité de montagne qui se pratique partout.
Et les sorties à ski sont prises en compte par c2c qu’elles aient lieu en « montagne » ou non, me semble-t-il.
Boarf, tout est relatif. Chamonix, c’est la montagne ou pas? Si non, il faut monter jusqu’où pour que ce soit la montagne?
Bref, c2c semble plutôt dévolu aux activités de montagne qu’à la montagne, non?
Il faut donc savoir si tu considères le VTT comme une activité de montagne. Cette question ne me passionne pas, mais je comprends qu’il faille parfois se poser des questions pas passionantes…
Comme dit plus haut le lieux de pratique ne peut pas être une limite.
Concernant l’altitude il faudra refuser cette sortie qui se déroule en bordure de mer, malgré les apparences,
Si le VTT montagne consiste à porter son vélo sur un sommet et à essayer de rester dessus à la descente, c’est un peu restreint comme domaine d’activité, et je ne vois pas trop pourquoi on continuerait à parler de VTT Montagne pour une pratique qui se rapproche plus de la randonnée pédestre.
Voir, par exemple parmi bien d’autres du même registre, un compte-rendu de sortie avec en illustration, la belle image du vététiste sur son vélo pédalant en direction du col de Bessac Déré avec en fond le Bec de la Traversière, peut créer un doute sur la praticabilité réelle de l’itinéraire. Après la photo, pour l’avoir vu en direct, le vélo retrouvait vite sa place sur les épaules du « redevenu randonneur pédestre » pour une bonne heure de marche encore.
Pour la descente versant S après un passage scabreux non évident sur névé au départ, une bonne partie relevait plus de la pratique du « trial montagne ».
Personnellement je ne voudrais pas que le VTT montagne colle trop à ce type de parcours très sélectif, réservé aux vététistes presque hors normes qui ne voient dans le vtt que l’attrait de la difficulté technique à la descente.
Du VTT montagne il est possible d’en faire sur des terrains « ballonés » type vosgien, au travers de grands espaces pas vraiment plat type Jura, Massif Central…
Concernant le critère route goudronnée il ne faut pas oublier que celle-ci peut être un bon moyen de boucler un circuit qui reste souvent dans le cadre d’une randonnée pédestre une simple traversée avec vacation voiture.
Le pourcentage limite reste donc assez difficile à déterminer. Il faut prendre en compte aussi que le pourcentage distance peut être disproportionné par rapport à un pourcentage temps, 5km sur route c’est I/4h environ pour un parcours de 30 km effectué en 4h au total.
S’il faut vraiment définir une limite je verrais plus un ratio dénivelé / distance, Le VTT restant un vélo, par définition, pour une pratique hors des routes goudronnées, il ne devrait pas avoir de confusion avec le cyclotourisme sur route.
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Sidérante, elle est sidérante, cette vidéo… je suis sur le postérieur.
Danny Macaskill est absolument génial à vélo. Même s’il a bien progressé depuis qu’il est au team RedBull, moi c’est toujours la vidéo d’Edimburg qui me plaît le plus. Regarde son site où sur youtube, tu va être bluffé.