Je ne comprends pas, d’après toi prendre sa voiture pour aller faire de la motoneige à Chamrousse est moins polluant que prendre sa voiture pour faire du ski de rando à Chamrousse ?
Ou serait-ce que les adeptes de moto-neiges montent à vélo ?
Sinon, on peut aussi se poser la question en terme de limitations des lieux à pourrir et des milieux plus ou moins fragiles.
Comme beaucoup, je n’ai pas de toilettes sèches, et mes besoins finissent donc dans l’eau (qui est retraitée ensuite). Par contre, quand je trouve un petit lac de montagne avec un biotope fragile, j’évite de chier dedans.
Il m’arrive de faire du hors sentier en montagne, mais uniquement lorsqu’il n’y a pas le choix (même si c’est très relatif), mais je ne coupe pas les virages lorsqu’un sentier est présent, ceci afin de diminuer la surface d’érosion.
J’habite dans un immeuble en dur, mais je suis contre les projets de constructions dans les réserves.
Et lorsque l’on me demande en ski de rando de rester sur certains «sentiers» spécifiques pour ne pas déranger la faune dans les sous-bois, je m’éxecute en me disant qu’on prends déjà beaucoup de place et que ce n’est pas un effort démesurable.