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4ème Bastion de Mondeval : Éperon Irene

Ils abusent clairement ces ouvreurs. Des bonimenteurs! :grin:

dejà avant cet éboulement, et dans toute cette zone les vires sont gavées de caillasses.la photo de la page 281 des « plaques compactes » de la longueur finale du V ieme bastion de Mondeval montre en arrière plan de quoi il s’agit.Bravo à vous d’avoir « survécu » à cette difficulté …frequente dans les Dolo.Les 2 autres topos: Cortina best of et Classic Dolomite Climb ne reprennent pas cette zone…Dolomiti de Bernardi est assez…commercial et attractif,mais à utiliser avec prudence comme source d’inspiration.

@azerqsd Bonjour, c’est fou comme le rocher peut-être différent à peu de distance finalement, car c’est un bon et solide caillou sur la Ponta Lastoi ! sur les Bastione de Mondeval on découvre une autre sorte de calcaire… La Grande Parete Costeana semble de même facture d’après ce qu’on a pu trouver sur le net … tu confirmes ?

bien sur la variabilité géologique des sédiments peut etre immense, alors que « la paresse » intellectuelle nous fait adorer la continuité !!!Le topo des allemands Koler et Memel,Classic Dolomites Climbs ( ed Baton wicks) est plus circonspect sur ce sujet : rock generally very good, but whith many piles of looses stones…scattered around on flat sections.Comme partout quoi…;
Pour Costeana, je n’y ai pas grimpé, mais ça ressemble bien: une face « pas trop raide » des vires…;ça passe un peu partout…Une fréquentation ( faible?)qu’on peut apprécier en parcourant le sentier d’approche ( bien marqué ou peu tracé)
C’est bien le genre de parcours ou on peut se munir de quelques pitons ( lames) et d’une poignée pour spiter à la main (10mn par spit) si on doit réchapper!!!
Par contre le diedre dallago à Cason di Formin (N°139) est excellent , on peut descendre sur le ref Palmiri…les campanile Innerkofler…

Le rocher n’est quand même pas dangereux, on trouve toujours des prises assez solides quitte à faire des détours, ça augmente la cotation de certains passages qui semblaient faciles. Par contre ça réduit la protégeabilité (mais j’ai toujours réussi à mettre un point solide tous les 5-6m).
Les cailloux sur les vires, c’est courant dans les voies avec vires et peu fréquentées ou récentes.
La qualité du rocher est similaire à ce qu’on trouve dans nos préalpes en dehors des voies classiques.
En comprenant que le rocher allait être tout le long comme ça, j’ai pensé à renoncer à cause de la grimpe déplaisante que ça impliquait, mais j’étais confiant que nous puissions arriver en haut sans se faire mal en faisant attention.
La voie peut donc être parcourue, si on accepte les inconvénients de cette qualité de rocher. C’est juste que si nous avions su d’avance que le rocher était comme ça, nous n’y serions pas allés.